Dans la journée du 08 mais 2022 Cyanobactéries Alerte reçoit deux alertes de prolifération de cyanobactéries.

La première concernant la Plage Caléde dans les Landes (40) et la seconde aux étangs des moines dans le nord (59).

 

Comme pour un millier d'autre plan d'eau, cyanobactéries Alerte analyse les images pour constater l'irréfutabilité ou une suspicion sérieuse des faits afin d'en informer le public le plus rapidement possible.

 

Pour la plage Caléde il ne fait aucun doute de la présence de plusieurs millions de cellules de cyanobactéries par millilitre d'eau.

Notre lanceur d'alerte ayant lui même était victime d'intoxication grave aux toxines de cyanobactéries avec atteinte du foie, il faudra attendre 24 heures supplémentaire d'exposition du public pour que les autorités prennent la décision d'information et d"interdiction de baignade. Au regard de l'ampleur, nul doute d'une carence en prévention du risque dans la surveillance visuelle du plan d'eau par la commune.

 

Pour les étangs des Moines, la encore, le mauvaise état de santé de la qualité de l'eau ne fait pas débat.

A 16h57 cyanobactéries alerte reçoit une vidéo accompagné du message suivant: "On a était aux étangs manger une glace, je regarde l'eau , je dit ohhh des cyanos !!!"

 

Coup de chance pour la prévention envers le public, un administrateur habite dans la région. 

Cet administrateur décide d'interrompre la mise à jour avec le premier lanceur d'alerte pour vérifier directement sur place. 

 

Il constate deux éléments déterminant:

1) La transparence de l'eau : < à 0.50M (Généralement signe de mauvaise santé)

2) Le changement de la couleur de l'eau (Signe d'une prolifération de cyanobactéries)

 

 

Le changement de la transparence et de la couleur de l'eau sont les seuls paramètres à prendre en compte pour une prévention précoce tout public en temps réel. Plus l'alerte est tôt, moins il y a de cellule de cyanobactéries , moins l'usager est exposé aux toxines.

 

A la demande du ministère de la santé, le rapport d'expertise de "Anses  2020" recommande la surveillance visuelle journalière des ressources d'eau de consommation pour détecter l'apparition d'éventuelles proliférations de cyanobactéries notamment à travers d'un changement de la couleur de l'eau.

 

Qu'il établit le même principe pour la surveillance des eaux de baignades.

 

"Anses • rapport d’expertise Saisines « 2015-SA-0207 » et « 2016-SA-0165 »page 332 / 438 avril 2020"

l'Anses-Afsset précisait en 2006  que certain plan d'eau ne faisait pas toujours l’objet d’une surveillance suffisante et adaptée à ces dangers, cyanobactéries Alerte agit depuis plusieurs années pour identifier les plans d'eaux et prévenir le public.

 

Le principe d'identification et d'alertes par des citoyens existent dans plusieurs pays, parfois sur des plateformes mises en place par le gouvernement.

 

Jean Francois Humbert, scientifique à l'INRAE (institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l’environnement) référent dans le domaine des cyanobactéries, préconise la participation citoyenne lors de la conférence du 16 décembre 2020 'Ministére de la santé, agence régionale de santé,...) en prenant l'exemple du groupe Facebook "Cyanobactéries Alerte".

 

 

 

Par communiqué de presse en date du 25 septembre 2020, le CNRS et l'INRAE titraient:

"Un succès pour la surveillance participative des cyanobactéries en Côte d’Ivoire"

 

 

Par communiqué de presse du 25 septembre 2020, le CNRS et l'INRAE titrait: 

"Un succès pour la surveillance participative des cyanobactéries en Côte d'Ivoire"

 

L' alerte est déposé sur la page dans les conditions habituelles.

 

La presse s'empare de cette alerte, l'observateur et Paul Schuler de Canal FM,

 

Pour Virginie Blanckaert Portier, la Directrice de la base de loisirs et du camping des étangs des moines, “Cette publication est totalement fausse” . 

Pour en faire la preuve, la Directrice des étangs expose plusieurs arguments contraire à la science, mais qu'importe, l'objectif étant d'induire en erreur l'opinion publique.

 

Selon Virginies Blanckaert Portier il n'y aurait pas de cyanobactéries pour les 4 raisons suivantes:

 

  1-"aucun phénomène de pollution ou de poissons morts en grande quantité n'a été signalé à ce jour"

 

 Un argument fallacieux puisque les cyanobactéries n'attaquent pas et n'ont jamais tuées les poissons.

 

Avez-vous déjà vus un poisson atteint d'une gastro, d'un cancer ou de trouble neurologique? 

 

Elles ne sont dangereuses que pour les vertébrés, fort heureusement d'ailleurs, puisqu'elles sont présentes partout.

 

Si effectivement des épisodes de poissons morts en grande quantité peut être observés, il est la conséquence d'un manque d’oxygéne dans l'eau après un énorme bloom de cyanobactéries. (Elles cumulent  l'oxygéne la journée pour la consommer la nuit, provoquant parfois l'anoxie d'un plan d'eau).

 

Les muscles du poisson se chargent en toxines et le consommer devient dangereux.

 

Les cyanobactéries ne sont pas non plus une pollution. La multiplication des cellules, par contre, est la conséquence direct du dérèglement planétaire du cycle azote phosphore, la pollution aux engrais chimiques principalement, dont elles se nourrissent allégrement.

 

  2- "Il est donc inutile de faire peur à la population en ne se basant que sur du visuel" et dément l'alerte "qui se base que sur un ressenti de l'auteur de la publication en fonction de la couleur de l'eau"

 

Cet argument expose en responsabilité juridique , et pénal en cas d'intoxication, non seulement madame Virginie Blanckaert Portier mais aussi le maire pour carence en prévention du risque.

 

En affirment publiquement qu'ils ne tiennent pas compte du visuel ni de la couleur de l'eau, et en tout cas qu'ils ne sont pas des éléments déterminants pour détecter au plus tôt une prolifération de cyanobactéries, ils dérogent à  la science et à leurs obligations.

 

Ce qui est encore plus grave pour la saison de baignade qui malgré les instructions ministérielle N° DGS/EA4/EA3/2021/76 du 6 avril 2021 relative à la gestion en cas de prolifération de cyanobactéries dans les eaux douces de baignade et de pêche récréatives précise clairement que: 

 

La modification de la couleur de l'eau et/ou la modification de la transparence de la masse d'eau sont les premiers signes révélateur d'une prolifération de cyanobactéries.

 

Ces instructions impose à Virginies Blanckaert Portier un contrôle visuel de la masse d’eau et d'en informer l'ARS pour analyse dés le premier constatés.

Dés lors qu'elle affirme contradictoirement que ce visuel ne détermine pas une prolifération ni la nécessité d'un appel à la vigilance " faire peur à la population" on constate que Virginie Blanckaert Portier met délibérément en péril les biens et les personnes par un manquement aux régles, si, et on dit bien si, Virginies Blanckaert Portier et responsable de la surveillance du plan d'eau.

 

Nous ne serions pas surpris d'apprendre qu'en réalité au lieu de s'adresser au charcutier, les journaux se sont adressés à l'andouille et que Virginies Blanckaert avouera ne rien y connaitre en cyanobactéries ni même être responsable de la surveillance du plan d'eau.

 

Effectivement pendant la saison balnéaire la personne responsable de la surveillance du plan d'eau de baignade est déterminé par la mairie (souvent le surveillant de baignade), en dehors de cette période la mairie est directement responsable de cette surveillance visuelle sauf à nommer quelqu'un (président de pêche, association,...). 

 

Les recommandations, les directives ministérielles ou encore l'Anses • rapport d’expertise Saisines « 2015-SA-0207 » et « 2016- attestent tous que la surveillance visuelle est primordiale, même pour les systèmes de production d'eau destiné à la consommation.

 

3-"la couleur de l’eau est conforme à la norme"

Il n'existe aucune norme de couleur de l'eau

 

4- Cette publication est totalement fausse”“Aucune analyse n’est faite en dehors de l’ouverture de la zone de baignade. Les analyses sont effectuées par l’ARS (agence régionale de santé) à la demande de la mairie en fonction de l’ouverture de la zone de baignade. La gestion des analyses est totalement gérée par l’ARS”, explique la directrice. Et d’ajouter “si ces dires sont vrais, merci de publier le rapport d’analyse de l’ARS“.

 

Ces nouveaux arguments fallacieux servent en réalité d'alibi pour s'abriter sur une absence de rapport d'analyse, et donc de preuve, qui serait exclusive des ARS à la demande du maire.

 

Recadrons le débat puisque Virginies Blanckaert Portier inverse les rôles et la charge de la preuve:

 

Les rapports d'analyses ARS ne concernent que la baignade pendant la saison et uniquement l'endroit de baignade. En aucun cas il se substitut aux obligations du maire en prévention du risque sur l'étang.

 

Par ailleurs ses analyses de l'eau en laboratoire effectuées sous commandement de l'agence régionale de santé ne sont pas un élément pour prouver la présence ou non de cyanobactéries puisqu'elles sont déjà naturellement présentent dans toutes les eaux de surfaces.

 

 

En réalité les rapports d'analyses ARS sont exclusivement un outils à la disposition du surveillant de baignade pour déterminer les taux toxinogènes et émettre des recommandations en fonction de la concentration maximale tolérable (CMT) pour l'usage de la baignade uniquement.

 

Cette concentration maximale tolérable , les seuils d'alertes, ont été créés en rapport à l'exposition à long et moyen terme des toxines pour une vie entière du baigneur par absorption accidentelle d'eau.

 

Le dépassement de ses taux est un risque imperceptible par le public puisqu'il n'en reçoit aucun effet immédiat mais seulement quelques années plus tard par le développement de maladies graves. Bien que parfois les conséquences sont immédiates, des responsables de plan d'eau profitent de l'invisibilité du risque .

 

De fait, en demandant à cyanobactéries alerte de publier le rapport d'analyse de l'ARS revient à solliciter des recommandations basées sur l'exposition d'une vie du baigneur. Ce qui est hors sujet.   

 

Virginie Blanckaert Portier nous explique donc qu'en dehors des analyses ARS baignades et de l'ouverture de la plage, il n'existe ni contrôle ni cyanobactéries quoi qu'il en coûte pour la santé du public. Il ne faudrait donc pas nuire à l'image des étangs des moines et de ses revenus,

 

Précision importante: La présence d'un rapport d'analyse ARS baignade n'étant ni applicable au reste de la population (exemple : Les taux en référence très loin au dessus du supportable pour un chien.) il est obligatoirement accompagné d'un suivi visuel de l'eau: les cyanobactéries se déplacent et se multiplient en quelques heures. Une analyse par mois n'est donc pas un élément de fiabilité lorsqu'on l'exploite seul.   

 

En ignorant ces faits, Virginies Blanckaert Portier expose à nouveau la population à un risque sérieux et réelle. 

 

En résumé nous qualifierons soit l' incompétente, soit dangereuse, soit les deux par l'aveuglement d'un conflit d’intérêt.

 

Le journaliste Paul Schuler de Canal FM tente d'enfoncer le clou en rappelant que: "l’an dernier, les analyses effectuées par l’ARS entre juin et la fin août avaient révélé une eau de très bonne qualité, permettant à la base de loisirs fourmisienne d’être labélisée « pavillon bleue ». La mairie espère bien conserver ce label cette année.

Rappelons à cet animateur radio que le journalisme est un travail de recherche et de vérification de ses sources. Qu'ainsi en faisant un travail de qualité il aurait vu que les proliférations de cyanobactéries ne sont pas pris en compte pour le classement de la qualité des eaux récréatives.. 

 

Il aurait vu qu'en aout 2019 les étangs des moines étaient classés en eau d'EXCELLENTE QUALITÉ par l'ARS avec l'analyse de l'eau du 12 aout 2019 bonne alors qu'en même temps la plage était fermé pour cause de Prolifération de Cyanobactéries sur la base de cette même analyse.

 

                        

 

               

 

                                                                                     Pancarte sur place:

 

Comment es-ce possible?

Un tour de passe-passe qui exclut les proliférations de cyanobactéries du classement des eaux de baignades.

 

 

Depuis une plainte déposé par eaux et rivières Bretagne l'ARS a modifié la notation qui est  maintenant celle de l'année précédante. Elle a également supprimé la visibilité des résultats d'analyses,.

 

En 2020 aussi les cyanobactéries étaient bien la. Le caractère des analyses rendu aléatoire par la mise sous le tapis de la couleur de l'eau, de la surveillance visuelle...permit les activités récréatives.

 

Qu'ainsi le triathlon a traversé les cyanos préalablement diluées par le moteur du bateau.     (vidéo en cours de production)

 

                               

                                         Eau de passage du triathlon 2020

 

 

 

La responsabilité du maire

 

La commune est la principale « personne publique » qui peut voir sa responsabilité engagée en 
cas de carence en prévention du risque. Fut-il minime voir improbable, il a obligation d’agir. La cyanotoxine est un poison naturel puissant qui impose juridiquement la prévention du risque 
lors de prolifération des cyanobactéries: Cancérogéne, atteintes hépatique, neurologique...

 

Qu'à défaut de prévention du maire pendant la saison, cyanobactéries alerte demandera que des

mesures de substitution soient prises par le préfet en vertu de l’article L.2215-1 du Code général des collectivités territoriales qui conduit le préfet à intervenir pour le compte et sous la responsabilité des communes en cas de carence du maire.

 

Nous réaffirmons qu'Il y a nécessité d'apprendre à reconnaître visuellement dés le début une prolifération de cyanobactéries afin d'éviter les risques et pouvoir profiter des eaux de surfaces sans paranoïa. Qu'à ce titre, les responsables de plan d'eau doivent prendre conscience qu'ils seront confrontés en permanence à ce fléau et que la qualité de la prévention sera synonyme de la qualité et de la confiance du site. L'opportunité de travailler avec les associations de défenses de l'environnement ou des personnes connaissant le sujet est un atout pour élaborer une stratégie simple et efficace, à moindre coût, que les communes devraient saisir afin de préserver les eaux récréatives et la mauvaises publicité de l'inaction.

 

Nous sommes tous victimes de cette situation.   

 

 

 

                          Pour la baignade, pourquoi des analyses aléatoire?

 

 

L’eau est prélevée le matin par eau calme, à profondeur précise, sur le lieu de baignade le plus fréquenté. 

 

 

 

Nombreux facteurs rendent très aléatoire les analyses :

 

Conditions climatiques, portabilité des cyanobactéries, leurs croissances,… 

(Figure1) Dans ce schéma, pour des raisons divers (vent léger, eau calme, décision des cyanobactéries) le taux peut être hautement concentrées mais localisé à l’opposé de la zone de prélèvement. 

L’analyse de l’eau sera donc favorable à la baignade au moment du prélèvement.

 

(Figure 3 et 4) L’activité humaine, nautique ou un simple vent plus fort pendant la journée va mélanger les cyanobactéries sur l’ensemble du plan d’eau et rendre la baignade dangereuse pour la santé malgré une analyse de la qualité de l’eau classée excellente le matin.

    
Additionnons que quelques heures à quelques jours suffisent pour la multiplication des cellules et la prolifération des cyanobactéries ainsi que le positionnement dans la colonne d’eau vont rendre encore plus aléatoire les prélèvements.

 

 

 

                         D’où l'importance de la surveillance visuelle de l'eau

 

 

Concluons sur l'intervention de la presse:

 

Pour l'observateur une journaliste de renom dans la région Sophie Rabot a recueillie les informations des responsables du site des étangs et tentait déontologiquement de contacter cyanobactéries Alerte.

 

L'article d'information impartial sera publié en fonction des éléments à disposition. 

 

Pour Paul Schuler de Canal FM, l'affaire semble plus personnel . Pas de documentation ni contact avec cyanobactéries alerte, pour un article orienté qui sera à charge et décrédibilisant cyanobactéries Alerte.

 

Alors que ce journaliste exprimait publiquement "Je préfère recevoir 10 doses de vaccins contre le COVID 19 pour sauver des vies"  il semble que cet élan de générosité pour la prévention dépende d'autres paramètres que celle de la bienveillance. 

 

L'article: 

 

       

 

 

 

 

 

 

 

       Politique Cyanobactéries Alerte: Les demandes de retrait d'un article ou d'une image ne sont plus accordé.

 

 

 

     

 

Les 9 limites planétaires:

   

    1) le changement climatique
    2) les pertes de biodiversité
    3) les perturbations globales du cycle de l’azote et du phosphore
    4) l’usage des sols
    5) l’acidification des océans
    6) la déplétion de la couche d’ozone
    7) les aérosols atmosphériques
    8) l’usage de l’eau douce
    9) les pollutions chimiques

 

Les limites planétaires qui ont été franchies:

 

    1) l’érosion de la biodiversité (taux d’extinction d’espèces animales et végétales)
    2) les perturbations globales du cycle de l’azote et du phosphore (exemple:les cyanobactéries)
    3) l’usage des sols (la surface du territoire transformée de forêts en exploitations agricoles)
    4) les pollutions chimiques,  (pollution chimique et pollution plastique)

    5) le changement climatique (l’augmentation de la concentration en gaz à effet de serre, avec un seuil fixé entre 1,6 et 2,8 tonnes de CO2 émises par personne et par an (en 2018, 4,478 tonnes en moyenne, selon la Banque Mondiale)

    6) L'usage de l'eau douce. la limite originale de l'eau douce se concentrait sur l'extraction de l'eau dans les rivières, les lacs et les eaux souterraines - connue sous le nom d'eau bleue, Ici on parlera de l'eau verte en limite planétaire franchi et en particulier de l'humidité du sol pour assurer la résilience de la biosphère, pour sécuriser les puits de carbone terrestres et pour réguler la circulation atmosphérique. Partout, des forêts boréales aux tropiques, des terres agricoles aux forêts, l'humidité des sols change. Les sols anormalement humides et secs sont de plus en plus courants. 

 

 

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Liste des associations et lac:

 

 

@Association pour la protection du lac Mégantic - APLM                           lac Mégantic      

@aplm.megantic

 

Association des riverains du Petit lac Lambton http://arpll.com/              Lac Lambton

platulippe@hotmail.fr

Association pour la protection environnement du lac du Huit                   lac du Huit          

@Les résidents du lac du Huit

Association riveraine du lac Rond-Peach par Martin Gallant                        lac Rond-Peach  

@lacrondpeach

Association des propriétaires du lac à la Truite par Lucie Tardif                  Lac à la truite

Association des riverains du lac Bécancour par Daniel Vachon                   lac Bécancour

Association des riverains du lac Jolicoeur par France Lachance                  lac Jolicoeur     

@Lac Jolicoeur

Association pour la protection du lac Elgin par Karine Fleury                      lac Elgin             

@Association pour la protection du lac Elgin - APLE

Association du lac Caribou par Serge Litowski                                                lac Caribou  

Association de protection du lac à la Truite d’Irlande                       lac à la Truite d’Irlande   

@associationlacalatruite

 

Association de protection du lac Drolet (APDLD) par Marie Forcier                lac Drolet         

@Association de protection du lac Drolet - APDLD

Association de protection du Grand lac Saint-François                      Grand lac Saint-François          

@RPGLSF 

 

Leur porte-parole, Michel Fournier, président de l’Association pour la protection du Grand lac Saint-François (APPGLSF), pense que ce projet fera l’unanimité autour des tables municipales.

 

Actuellement, l’interdiction des engrais et pesticides se fait déjà dans certaines municipalités du Québec et dans quelques municipalités des MRC susmentionnées.

 

Cette interdiction est un actif environnemental pour celles-ci et il faut l’étendre à tout leur territoire selon les associations.

 

« Nous croyons qu’il est maintenant temps de donner une meilleure dynamique environnementale à nos lacs et à nos cours d’eau », fait remarquer M. Fournier.

 

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