Le contrôle visuel des masses d’eau réalisé par le gestionnaire est le premier indicateur de prolifération aux cyanobactéries.
Une surveillance par le gestionnaire.
Dès les premiers signes d’une prolifération (modification de la couleur de la masse d’eau, présence d’accumulation en surface) ou en cas de mortalité animale (faune domestique ou faune sauvage) :
La personne responsable du site doit informer les autorités compétentes afin que ces dernières fassent procéder à des analyses complémentaires pour l’évaluation du risque
En pratique:
L’exploitant a objectif de pérenniser l’activité de son plan d’eau dans l’intérêt économique, sociale, ...
La charge de surveillance visuelle des premiers signes de prolifération de cyanobactéries pouvant produire la fermeture du site ou un affichage peu attractif, conduit à des liens d'intérêts qui s’opposent et peu corrompre la motivation à agir précocement.
1) Présidents d’associations de pêche soucieux de l’attractivité des adhérents et du bon déroulement de leurs concours de pêches :
Il en est persuadé : l’étang de Milourd, à Anor, est bourré de cyanobactérie capables de libérer des cyanotoxines, parfois mortelles
pour les animaux et dangereuses pour l’homme Lionel Marechal Publié le 17/08/2020